

Dorénavant, les tests PCR et les tests antigéniques rapides ne sont plus recommandés pour la population générale, les patients asymptomatiques ou les résidents des établissements de soin collectifs (ambulatoires et hospitaliers, y compris les transports de patients et les soins préhospitaliers d'urgence), à l'exception de quelques indications très limitées. Quant aux autotests, ils restent disponibles.
En ce qui concerne les patients symptomatiques, les discussions se poursuivent et la stratégie de dépistage -plus complexe et dépendant de nombreux facteurs (état de santé du patient, l'âge, le degré d’immunodépression/déficience,…). - sera déterminée au plus tard le 1er juin, lors de la prochaine CIM.
Les ministres soulignent toutefois qu’il sera possible d'intensifier à nouveau la stratégie de testing si la situation épidémiologique se dégrade et qu’un nouveau variant présentant des caractéristiques plus graves se manifeste.